De son côté, la communauté internationale se démène pour obtenir deux choses : en premier lieu, une trêve de deux heures par jour pour acheminer l’aide humanitaire. Moscou a dit oui, hier, lundi 19 mars, et presse Damas d’accepter immédiatement.
L’autre requête, c’est une déclaration du Conseil de sécurité des Nations unies pour soutenir officiellement la mission menée par Kofi Annan, l’émissaire international. Là encore, la Russie, par la voie de son chef de la diplomatie, Sergueï Lavrov, dit oui à une déclaration mais pose ses conditions.