Syrie : l’opposition armée accusée d’exactions par Human Rights Watch

Rien n’est jamais clair dans une guerre. L’ONG Human Rights Watch accuse des groupes armées d’opposants syriens d’avoir commis des exactions contre des membres des forces de sécurité. Des tortures, des enlèvements, des rackets. De quelle ampleur ? Difficile de le savoir mais elles sont de plus en plus significatives, comme l'explique le représentant régional de HRW, Nadim Houry, basé au Liban.

De son côté, la communauté internationale se démène pour obtenir deux choses : en premier lieu, une trêve de deux heures par jour pour acheminer l’aide humanitaire. Moscou a dit oui, hier, lundi 19 mars, et presse Damas d’accepter immédiatement.

L’autre requête, c’est une déclaration du Conseil de sécurité des Nations unies pour soutenir officiellement la mission menée par Kofi Annan, l’émissaire international. Là encore, la Russie, par la voie de son chef de la diplomatie, Sergueï Lavrov, dit oui à une déclaration mais pose ses conditions.

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