L'ancien ministre, passé dans la clandestinité pour sa sécurité, a également appelé les autres membres du gouvernement à abandonner « un bateau qui coule », disant ne pas souhaiter terminer sa vie « au service d'un régime criminel ».
Burhan Ghalioun, le chef du Conseil national syrien (CNS), principale instance de l'opposition, a salué cette défection, appelant lui aussi membres du gouvernement et fonctionnaires à en faire de même.