Le « pacte » de compétitivité évoqué par François doit notamment passer par une réforme de l'impôt sur les sociétés. Celui-ci pourra être modulé d'après la taille des entreprises. Par ailleurs, le chef de l'Etat a évoqué également « l'accès aux capitaux, le prix de l'immobilier, la complexité administrative, la rigidité du marché du travail ». La déclaration de M. Hollande intervient dans le contexte d'une polémique autour du rapport Gallois (non encore remis officiellement), un document censé éclairer le gouvernement socialiste sur les mesures à prendre en vue de relancer l'économie française.