« J'ai reçu des menaces de mort, dit Julian Assange. Mon avocat, mes enfants en ont reçu ». D'où viennent-elles lui demande alors le journaliste d'El Pais ? « La plupart viennent des forces armées américaines ».
Il évoque ses conditions de détention avant de réaffirmer qu'il n'a jamais eu de relations sexuelles sans consentement. Ses partisans sur tweeter ont affiché les tweets, « les gazoullis », d'une des plaignantes suédoises qui deux jours après avoir passé la nuit avec lui lance un appel à ses amis pour obtenir des billets pour aller à un spectacle en compagnie de celui qu'elle considère alors comme son amoureux.
A cause de ces accusations de sexe par surprise, qualifié de viol en Suède, il a été enfermé à l'isolement dans une prison où les détenus sont pour la plupart des pédophiles ou des assassins d'enfants menacés de mort à cause de leurs actes par les autres détenus.
Des conditions dures, Julian Assange raconte qu'en mangeant une platée de riz il se casse une dent sur objet métallique. La dent lui sera volée et se retrouvera en vente sur Ebay.
Julian Assange affirme être victime d'une campagne pour le discréditer mais il a reçu des soutiens du monde entier. Les Etats-Unis tentent toujours de l'inculper pour terrorisme. Le vice-président américain, Joe Biden, l'a qualifié de terroriste de haute technologie.