« François Fillon a eu l’occasion de s’expliquer, ainsi que son épouse, c’est ce qu’il souhaitait d’ailleurs ! Il voulait que ça aille vite et ça doit aller vite. Aujourd’hui la justice, je pense, essaye de calquer son calendrier sur le calendrier politique, ce qui est bien naturel. […] Je m’en félicite, parce que ce genre d’histoire peut durer des semaines et des mois, se terminer évidemment par un non-lieu, ou un classement, et pendant des semaines et des mois vous en payez le prix. Et lorsque vous êtes candidat à l’élection présidentielle dans moins de 90 jours, c’est évidemment un calendrier totalement impossible. Etre blanchi après, c’est d’une certaine façon tromper la démocratie. »