Publié le :
«Il y a eu 5000 personnes arrêtées par la police, et 500 000 se sont rendues spontanément, de peur d'être assassinées. Le président a donné le droit de tuer. Amnesty International a condamné ce système anti-drogue», informe François-Xavier Bonnet, géographe et chercheur associé à l'Institut de recherches sur l'Asie du Sud-Est contemporaine (IRASEC), spécialiste des Philippines.