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Officiels en Jordanie, informels au Liban, ces camps sont de véritables villes dans lesquelles une véritable vie sociale s’organise : les habitants se comportent comme des citoyens qui travaillent, circulent, commercent. Beaucoup pourtant conservent un lien direct avec la Syrie, qu’il soit familial ou économique. La Syrie comme base arrière ou comme objectif, et où ils retournent fréquemment.