Les opposants syriens réfugiés au Liban ne se sentent plus en sécurité

Un rapport de l'organisation Amnesty International révélait la semaine dernière que les opposants syriens étaient menacés jusqu'aux Etats-Unis et en Europe. A Beyrouth, où le gouvernement dominé par le Hezbollah soutient le régime de Bachar el-Assad, la situation est également de plus en plus difficile pour les militants syriens. Harcelés, menacés, ils vivent dans un climat de peur. Certains ont d'ailleurs déjà choisi de quitter le pays alors que d'autres se font de plus en plus discrets.

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