Lors d’un meeting électoral dans le New Hampshire, Donald Trump a qualifié Hillary Clinton de « dangereuse menteuse », de « personne complètement désaxée » et de « déséquilibrée ». Toutefois, il doit affronter lui-même des diagnostics autrement plus sérieux dans le domaine. Karen Bass, députée démocrate de Californie et ancien médecin, vient de lancer une pétition qui appelle les Républicains à soumettre Trump à des examens psychiatriques.
Troubles narcissiques de personnalité
Elle dit reconnaitre chez lui des symptômes typiques des troubles narcissiques de personnalité, qui lui interdisent un poste politique de premier plan. La presse semble encore plus inquiète. Le Washington Post s’interroge : « Donald Trump est-il carrément fou ? ». Robert Kagan, figure des néoconservateurs, estime que son style « politiquement incorrect » pourrait être en réalité « un effet secondaire de sa maladie ». Enfin, le New Yorker et la revue The Atlantic semblent convaincus que Donald Trump souffre de « sociopathie ».