L’équipe française a étudié les mécanismes liés à l’invasion de la cellule-hôte, par certains parasites responsables de nombreuses pathologies chez l’homme et l’animal. La structure élucidée, composée de protéines, permet à l’infection de se développer. Des résultats essentiels afin de trouver le moyen d’empêcher le parasite de se multiplier.
Cette stratégie, considérée comme originale par les chercheurs, est également généralisable dans d’autres infections parasitaires notamment sur le plan vétérinaire. Des maladies qui ont un fort retentissement économique, comme les coccidioses chez les poulets, la piroplasmose transmise aux animaux par la morsure d’une tique ou encore la toxoplasmose chez les bovins.