La vente de pièces détachées d'avions de ligne et les réparations nécessaires à la sécurité sont à nouveau possibles en Iran depuis janvier et la levée partielle des sanctions occidentales. La vente d'appareils neufs reste toutefois interdite.
Les Etats-Unis ont autorisé Boeing et General Electric, qui fabrique des réacteurs d'avions, à vendre des pièces détachées à l'Iran, et des appareils ont également été envoyés dans des pays étrangers pour y subir des réparations liées à la sécurité.
C’est un ballon d'oxygène appréciable et le ministre iranien en charge des transports s'est félicité d'avoir pu ajouter dix avions civils à la flotte, soit une augmentation de la capacité de transport de 2 800 sièges et un rajeunissement de l'âge moyen des avions. L'origine de ces avions n'a pas été précisée. Durant la période de l'embargo, l'Iran a acheté ou loué des avions d'occasions et notamment des Airbus.
Téhéran a également promu la construction locale d'avions du type Antonov 140. Mais depuis l'accident de juillet qui a fait 39 morts, ces avions sont tous cloués au sol.