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A l'issue de sa tournée au Proche-Orient et de sa rencontre avec les dirigeants israéliens et palestiniens, John Kerry, le secrétaire d'Etat américain, s'est voulu optimiste, évoquant des «progrès». Mais pour Gérard Chaliand, spécialiste des questions géostratégiques, la marge de manœuvre américaine est en réalité trop faible dans le contexte actuel, fortement marqué par le conflit syrien et la lutte entre chiites et sunnites.