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Depuis vendredi, une centaine de migrants afghans, érythréens, soudanais, libyens ou encore tchadiens, ont investi une annexe désaffectée d'un lycée du nord-est parisien pour dénoncer le manque de solutions d'hébergement. Samedi, ils étaient réunis en assemblée générale organisée par le comité de soutien « La Chapelle en lutte » pour définir une série de réclamations à adresser à la mairie de Paris.