Ce millier d'emplois industriels, General Electric s'engagerait à les créer sur trois ans, et à condition de parvenir à racheter le pôle énergie d'Alstom. L'Elysée n'a pas souhaité faire de commentaire sur ce chiffre. Mais plus tôt dans la journée, la présidence a reconnu que l'offre de General Electric s'était améliorée et renforcée sur l'emploi.
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Ce millier d'emplois industriels, General Electric s'engagerait à les créer sur trois ans, et à condition de parvenir à racheter le pôle énergie d'Alstom. L'Elysée n'a pas souhaité faire de commentaire sur ce chiffre. Mais plus tôt dans la journée, la présidence a reconnu que l'offre de General Electric s'était améliorée et renforcée sur l'emploi.
Une avancée donc, mais pour la présidence, il reste du travail à accomplir, notamment sur l'emploi, la localisation des centres de décision et le nucléaire. Des négociations qui, aux yeux de l'Elysée, se déroulent en bonne intelligence.
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En tout cas, General Electric accepte de prendre le temps de convaincre l'exécutif français, jusque-là réticent. La semaine dernière, Jeffrey Immelt, le patron du groupe américain, a décidé de prolonger le délai d'examen de son offre de trois semaines, jusqu'au 23 juin.
L'Allemand Siemens envisage, lui, de déposer une offre au plus tard le 16 juin, à condition qu'elle soit examinée équitablement.