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Un an après les tueries de Toulouse et de Montauban, dans le sud-ouest de la France, le rapport de l’inspection générale de la police critique le travail de la Direction centrale du renseignement intérieur. La DCRI est accusée de n’avoir pas été capable de mesurer la dangerosité de Mohamed Merah avant son passage à l’acte. «Cela faisait 15 ans que des attentats n’avaient pas été commis sur le sol national», pointe Manuel Valls, le ministre de l’Intérieur, qui insiste sur la nécessité de «tirer les leçons» des failles de l'enquête.