Frédéric Benoist, l'avocat du syndicat de France Télécom qui a déposé plainte, veut que la justice aille plus loin que la condamnation pour harcèlement moral, convaincu que les dirigeants de France Télécom étaient conscients des effets de leurs pressions et les ont accentuées.
Le magistrat a également convoqué pour ce vendredi d'autres dirigeants de l'époque, ainsi que France Télécom, qui pourrait également être mis en examen en tant que personne morale. Une satisfaction pour les syndicats qui se félicitent de l’avancée de la procédure.