Affaire Prism: la contre-attaque des instances européennes chargées de l’Informatique et des Libertés

Le groupe des instances européennes chargées de l’Informatique et des Libertés vient de saisir Viviane Reding, la commissaire européenne chargé de la Justice pour évaluer les conséquences du programme de cybersurveillance Prism sur la protection des données des citoyens européens. « Un soutien » salué par la Commission européenne.

Avec notre bureau de Bruxelles,

La Commission européenne se félicite du soutien du groupe des instances européennes chargées de l’Informatique et des Libertés. La commissaire chargée de la Justice se bat depuis janvier 2012 pour adapter un règlement sur la protection des données personnelles.

La Commission européenne se félicite du soutien du groupe des instances européennes chargé de l’Informatique et des Libertés. La commissaire chargée de la Justice se bat depuis janvier 2012 pour adapter un règlement sur la protection des données personnelles.

Accélérer la cadence

« Si une telle législation avait existé avant, nous aurions eu un solide rempart contre le programme informatique Prism », assure-t-on ici. Mais avant, les Etats membres rechignaient à avancer. Le scandale Prism a bouleversé la donne. L’Allemagne et la France ont même demandé d’accélérer la cadence. On espère donc ici à arriver à un accord avant le printemps 2014.

 

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