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Après dix ans d'enquête et beaucoup de ratés, le procès du groupe de Tarnac s’est ouvert hier à Paris: Huit personnes dont Julien Coupat sont jugées pendant trois semaines, ils sont accusées d’avoir saboté des caténaires de TGV en 2008. La défense veut faire de ce procès celui de l’antiterrorisme à la française. Les accusés réfutent en bloc, et dénoncent un procès politique. Les explications de Michel Deléan, journaliste d'investigation à Mediapart.