Comment mesurer ce préjudice d’angoisse des victimes des attentats ?

La Secrétaire d’Etat aux victimes l’assure : non, le « préjudice d'angoisse » ne sera pas absent de la délicate question de l'indemnisation des victimes, après les attentats qui ont frappé la France. Alors que l’on s’apprête à rendre hommage à celles du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis.Des avocats se saisissent du dossier. A travers un livre blanc demandant une vraie prise en compte de cette souffrance, que portent ceux qui n’étaient pas forcément en première ligne, mais souffrent toujours de blessures invisibles. Des blessures qui échappent aux mécanismes d’indemnisation. Comment mesurer ce préjudice d’angoisse des victimes des attentats ? C’est le débat de ce vendredi.

Pour en débattre :

- Maître Frédérique Giffard, un des 170 avocats signataires du livre blanc Studio

- Stéphane Giquel, secrétaire général de la Fenvac (Fédération nationale des victimes d’attentats et d’accidents collectifs).

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