Diplomatie internationale en Syrie:
« On regrette qu’il y ait toujours cet espoir de gagner la guerre militairement et qu’en fin de compte c’est toujours les intérêts militaires, stratégiques et politiques qui gagnent par rapport au drame humanitaire qui est en train de se développer. »
« Pendant l’année, on a souvent un moment où tout à coup les besoins humanitaires sont croissants mais aussi notre capacité de pouvoir faire des choses. [...] Nous avons accès à des populations que l’on peut soigner, que l’on peut atteindre pour les soutenir mais sans avoir suffisamment de ressources, ni en Irak ni dans d’autres conflits sur le continent africain. »