Les femmes espagnoles disent non à la violence

Les femmes et la violence des hommes. On en a beaucoup parlé avec l’affaire de Cologne. On en reparle aujourd’hui dans un pays, l’Espagne, qui a bien du mal à résoudre la question de la violence conjugale. En 2015, 53 femmes sont mortes dans le pays, sous les coups de leur conjoint. Et une femme sur dix, dit avoir souffert de violence physique ou sexuelle dans son couple.Un mois après les élections législatives, alors que les partis n’arrivent toujours pas à s’entendre sur la formation d’un gouvernement, les partis de gauche disent vouloir se donner les moyens de lutter contre le machisme. Alors que les budgets dédiés à la lutte contre la violence ont diminué d’un quart. Laurent Berthault a rencontré à Madrid des victimes et des militantes.A lire aussi : «Espagne: mobilisation monstre contre les violences machistes».

Cameron, super Daddy 
Un plan national de formation pour… devenir un bon parent ! C’est l’initiative qu’a lancé la semaine dernière le Premier ministre britannique David Cameron. Les cours  devraient s’adresser à tous et s’atteler à résoudre les problèmes de communication, de comportement, et de discipline. Vaste programme. Mais, est-ce vraiment une bonne idée ? Réactions à Londres avec Marie Billon. 

Du papier conducteur
C’est un matériau potentiellement révolutionnaire. Du papier qui conduit l’électricité est actuellement développé en Suède, plus précisément dans le laboratoire d’électronique organique de l’Université de Linköping. Ses applications sont infinies, et c’est le reportage en Suède de Benoît Derrier.

Eltsine (1931-2007) 
Figure très controversée de l’Histoire contemporaine russe. Boris Eltsine a désormais un musée à son nom à Ekaterinbourg, dans l’Oural, sa région natale.
C’est Vladimir Poutine lui-même qui est venu l’inaugurer.
Eltsine, premier président de la Fédérartion de Russie après l’effrondrement de l’URSS, est à la fois le symbole d’une liberté retrouvée, mais aussi de tous les dérèglements des années 90. Visite avec Etienne Bouche en Russie.

Après Charlie
Comment parler de l’attentat de Charlie Hebdo, et de l’Hyper casher à  Paris, un an après ? Dans son dernier livre « Le kiosquier de Charlie », la correspondante de La Repubblica à Paris, Anais Ginori propose une lecture décalée. Et originale. Elle y mêle ses réflexions sur son métier de journaliste, sa pratique et l’histoire incroyable de Patrick, kiosquier à Saint-Germain-des-Prés. Elle a expliqué sa démarche à Catherine Rolland.
Le livre d’Anaïs Ginori est publié aux éditions des Equateurs. 

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