Turquie : analyse politique intérieure après l’attentat d’Ankara

« Si vous écoutez le gouvernement turc, il y a trois suspects qui sont le PKK, l'organisation de l'Etat Islamique et l'extrême gauche turque... Le point commun de ces trois suspects pour Tayyip Erdogan c'est que ce sont ses ennemis politiques, ses ennemis stratégiques et donc toutes les autres causes de violences politiques possibles en Turquie sont passées sous silence » souligne Dorothée Schmid, chercheuse, responsable du programme Turquie contemporaine à l'IFRI (Institut français des relations internationales).

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