« Plutôt que de me féliciter, vous me permettrez d’être dubitatif et même sans grandes illusions quand à la réussite de la mise en œuvre de cet accord. D’abord parce que nous avons déjà beaucoup prêté d’argent aux grecs, vous et moi, tous nos auditeurs, les français qui nous écoutent sont des créanciers de la Grèce et jusqu’ici, il a fallu remettre au pot. Et en plus parce qu’Alexis Tsipras est chargé aujourd’hui de mettre en œuvre un accord alors qu’il a été élu précisément sur des promesses qui sont l’exact contraire de cet accord. »