« Tout est fait pour que les migrants ne restent pas en Tunisie, car les autorités craignent de revivre le scénario de 2011 lorsque des dizaines de milliers de réfugiés s'étaient retrouvés sur le sol national. Mais depuis l'été dernier, le gouvernement tunisien a prévenu qu'aucun camp ne sera ouvert cette fois (le pays ne pouvant répondre à un afflux massif de réfugiés). »