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Civils ou combattants, de nombreux blessés syriens continuent d'être transportés vers le Liban, souvent de manière clandestine. La plupart sont soignés à Tripoli, dans le nord du pays. Mais pour beaucoup, le séjour médical est court, et plusieurs blessés dénoncent des abus. Les plus vulnérables, paralysés ou amputés, sont souvent en difficulté à leur sortie de l'hôpital. Pour les soutenir, Handicap International travaille depuis cet été à la réinsertion et la rééducation de ces blessés, à domicile ou à l'hôpital.