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A l’aéroport de Santiago, de plus en plus de touristes ou soi-disant touristes européens sont arrêtés pour avoir essayé de passer quelques kilos de cocaïne. Ces petits trafiquants ont bien des noms en Amérique latine : on les appelle des « mules » ou mulas, des camellos ou « chameaux », des « bourriers » au Pérou. Beaucoup y voient une conséquence inattendue de la crise économique en Europe.