Les entreprises américaines se positionnent déjà pour participer à la reconstruction des régions nord-est du Japon dévastées par le tsunami. Hillary Clinton était accompagnée lors de sa visite à Tokyo par le chef de la Chambre américaine de Commerce qui a rencontré des représentants du patronat japonais.
L'idée est celle d'un partenariat entre le public et le privé pour mener à bien le plan de reconstruction que le gouvernement japonais va présenter rapidement. Le ministre des Affaires étrangères japonais a souhaité que les Etats-Unis mais aussi d'autres pays y participent.
Les montants avancés pour la reconstruction des zones sinistrées a de quoi susciter l’intérêt des milieux d'affaires. Le cout des dégâts est évalué au minimum à 210 milliards d'euros mais devrait être bien plus élevé. Assez rapidement, 33 milliards d'euros vont être déjà débloqués pour les mesures d'urgence.
De plus, aucune inquiétude à avoir pour les entreprises, le Japon ne devrait pas rencontrer de difficulté pour financer la reconstruction car le pays dispose de très importantes réserves d'épargne.