Avec notre correspondant à Cancun, Patrice Gouy
Miguel Sarre, juriste internationalement reconnu, a déposé un document juridique auprès de la cour, démontrant que le cas de Florence Cassez doit être examiné par la Cour suprême, pour éviter les conflits d’intérêts. Les associations de droits de l’homme ont insisté sur le fait que les droits de Florence Cassez n’ont pas été respectés lors de son arrestation.
Ignacio Morales Lechuga, ancien procureur de la République et ex-ambassadeur du Mexique en France, a lui aussi présenté un document juridique en quatre points, mettant en relief l’inconsistance du témoignage des victimes présumées.
La Commission épiscopale mexicaine a également présenté un rapport, fruit de sept mois de travail. Elle relève toutes les contradictions et irrégularités du dossier et réclame une libération immédiate.