Au-delà du côté administratif, le Conseil statutaire de l’UNDR a voulu profiter des trois jours de réunions pour contester à nouveau les résultats de la présidentielle d’avril 2016 remportée, selon le parti, par le président Idriss Déby Itno dans un contexte de violation des droits de l’homme.
Pour Saleh Kebzabo, c’est surtout l’attitude des Etats-Unis, de la France et de l’Union européenne face à la situation politique au Tchad qui est incompréhensible.
Le chef de file de l’opposition a aussi profité de la session pour engager ses militants à chercher un autre chef à l’UNDR, parce qu’il compte se retirer de la présidence du parti au congrès de 2019.