Il y a un an déjà, le 17 juillet 2013, déplore l'organisation dans ce communiqué, un membre de l'équipe avait été retrouvé mort. Il aurait été étranglé. Une enquête avait été ouverte mais elle n'a pas abouti. Et cette semaine, c'est l'actuelle présidente de Transparency Rwanda qui a été victime d'actes qu'elle qualifie d'intimidation, au siège de l'organisation à Kigali.
Selon Transparency International, une plainte a été déposée auprès de la police rwandaise. Et une enquête a été ouverte.