L'opération avait été prolongée d’une semaine pour permettre aux retardataires de s’inscrire afin de pouvoir voter aux prochaines échéances électorales, présidentielle et législatives, prévues pour la fin de l’année. Une mesure qui n’a pas suffi, selon certains acteurs de la société civile et hommes politiques, qui dénoncent des irrégularités qui n’auraient pas permis à tous les Tunisiens de s’inscrire. Ils sollicitent de nouvelles dates.
La diaspora peu mobilisée
Certains politiques s’inquiètent aussi du peu de mobilisation des Tunisiens de l’étranger. Pour la députée, Nadia Chabaane, les inscriptions devraient se poursuivre au moins en ligne pour ceux de l'extérieur.