Ils ont entamé leur sitting devant le siège du Haut commissariat aux réfugiés des Nations unies de Brazzaville (en Répubique du Congo) jusqu’à ce que des représailles policières les fassent déplacer dans le centre ville. Ce sont cinq cents familles, soit plus d’un millier de réfugiés, tous originaires de la République démocratique du Congo qui protestent contre leurs conditions de vie à Brazzaville.
Pour leur porte-parole : « La priorité est d’étudier les dossier pour l’éloignement systématique des réfugiés et des demandeurs d’asile. Ceux qui ont déjà eu des papiers devraient être réinstallés dans d’autres pays éloignés pour que les gens puissent humainement refaire leur vie ».
Au HCR on assure travailler à une recherche de solution comme l’explique la porte-parole, Céline Schmitt : « Il faut que nous voyons avec nos partenaires qui travaillent dans ces différents secteurs, quels sont exactement les problèmes pour voir quelles réponses nous pouvons apporter ».
En attendant ces familles affirment passer leurs nuits en plein air depuis le 14 septembre.