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Le dossier syrien sera au centre des discussions mardi 24 septembre à l'Assemblée générale de l'ONU. Notamment la question de la neutralisation de l'arsenal chimique de Damas. A ce titre, François Hollande se rendra à New York pour y défendre une résolution aussi contraignante que possible avec ou sans référence au fameux chapitre 7 qui prévoit un recours à la force. Le président français doit également rencontrer son homologue iranien, Hassan Rohani. Objectif : obtenir le soutien de Téhéran dans l'espoir de trouver une solution politique au conflit syrien. A ce titre, les autorités iraniennes se seraient bien vues dans un rôle de médiateur. Une offre qui n'est toutefois pas du goût de Paris. La raison ? Le régime iranien manque de neutralité. C'est en tous cas le point de vue du porte-parole du Quai d’Orsay, Philippe Lalliot.