Les forces en présence

Les capacités militaires d’Assad auraient été divisées par deux depuis le début du conflit, en raison des pertes, des défections et des désertions. Les forces paramilitaires, les tristement célèbres Chabihas alaouites souvent entrainés par le Hezbollah libanais, et les alliés étrangers sont difficilement quantifiables. Fin août, le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem a menacé ses « ennemis » en cas de frappe militaire. Son pays se défendra et utilisera « des moyens surprenants ».

Les capacités militaires d’Assad auraient été divisées par deux depuis le début du conflit, en raison des pertes, des défections et des désertions. Les forces paramilitaires, les tristement célèbres Chabihas alaouites souvent entrainés par le Hezbollah libanais, et les alliés étrangers sont difficilement quantifiables. Fin août, le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem a menacé ses « ennemis » en cas de frappe militaire. Son pays se défendra et utilisera « des moyens surprenants ».

 

Le soutien militaire étranger est faible mais non négligeable. Il est constitué par les Brigades internationales, formées de Gardiens de la révolution iraniens (les Pasdarans) dépendant de la force al-Qods. Ils fournissent surtout un soutien tactique et logistique et seraient quelques milliers sur le sol syrien. Le Hezbollah libanais est aussi présent aux côtés du régime de Damas. Il assure des missions de combat dont certains ont été déterminant pour Assad (bataille de Qousseir). Des brigades irakiennes seraient également aux côtés des forces loyalistes ainsi que des « civils » russes qui assurent l’escale pour la flotte militaires moscovite.

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