Avec notre correspondant à Londres, Adrien Moss
Les deux hommes ont répété que l’utilisation d’armes chimiques mériterait une réponse sérieuse. Selon la presse dominicale, on ne se demande plus à Londres s’il faut une intervention militaire, mais quelle forme elle pourrait prendre.
Ce sont des frappes aériennes limitées contre des cibles syriennes stratégiques, comme des bases aériennes et des dépôts d’armes chimiques qui seraient privilégiées. Plutôt que des attaques à partir d’avions, ce sont des missiles de croisière qui pourraient être utilisés.
Les Britanniques comme les Américains ont des missiles de croisière réputés pour leur précision chirurgicale, qui pourraient être lancés depuis un sous-marin nucléaire britannique.
Des chasseurs Tornado basés à Chypre pourraient aussi, selon la presse, participer à ces frappes aériennes contre la Syrie, si les tirs de missiles n’étaient pas suffisants.