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A six jours de l'élection à la présidence de l'UMP, François Fillon a franchi un pas lundi 12 novembre au soir dans l'affrontement contre son rival Jean-François Copé, en affirmant que la reconquête du pouvoir en France n'imposait pas de prendre « tous les virages à droite ». Devant 4 000 militants réunis au palais des congrès à Paris, l'ancien Premier ministre a véritablement redoublé de virulence contre Jean-François Copé.