Pour l'auteur de l'amendement Yves Daudigny, cette taxe doit être un signal, « non à destination des consommateurs, mais à destination des industries agroalimentaires, pour qu'elles substituent à ces huiles de nouvelles compositions plus respectueuses de la santé humaine ».
D'après l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, les acides gras saturés de ces huiles, consommés en excès par la population française, contribuent au développement de l'obésité et favorisent les maladies cardio-vasculaires.
Ces huiles, mauvaises pour notre santé, ont aussi des effets catastrophiques sur l'environnement, de par leur contribution à la déforestation mondiale.