Union européenne: «Personne n’a intérêt à des crises institutionnelles»

Après la nomination de l’Allemande Ursula von der Leyen à la présidence de la Commission européenne et de la Française Marie-Christine Lagarde à la tête de la BCE, c’est au tour de l’Italien David Sassoli de prendre les rênes du Parlement européen. Des désignations qui ne font pas toujours l’unanimité auprès des eurodéputés. Peut-on parler de rivalité entre Bruxelles et Strasbourg? Le décryptage de Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation Robert Schuman et de l'Institut libre d'études des relations internationales.

« Le fait de nommer la ministre de la Défense allemande, qui vient de décider avec la France de relancer les projets européens de défense - au moment où M. Trump nie à l’Europe le droit d’avoir une défense autonome et indépendante - c’est un message extrêmement fort. »

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