Pour Eric Ciotti , la « loi de sécurité intérieure et de lutte contre le terrorisme » (loi Silt) ne permet pas de faire face à la situation : « La loi Silt c’est 10% de l’état d’urgence, c’est 10% de l’application de l’état d’urgence en matière d’assignations à résidence et de perquisitions administratives. » affirme le député.
Mais, en réalité, cette loi adoptée il y a un peu plus d’un an après la levée de l’état d’urgence permet beaucoup plus que cela, c’est bien pour cette raison que les organisations de défense des droits de l’homme l’avaient critiquée lors de son adoption en octobre 2017.