Lobbies des hydrocarbures et fonds spéculatifs font cause commune, pour la défense de leurs industries et des profits qu’elles engendrent, sur le dos de la planète.
En remontant le fil de certains tweets et le parcours de leurs auteurs, c’est tout un agenda politico-financier que l’on révèle: la collusion de l’ultra-droite américaine, de grands financiers et d’industries dépendantes des combustibles fossiles.
Nous partons d'un cas particulier, celui de Patrick Moore, qui utilise son ancienne étiquette de « co-fondateur de Greenpeace » pour défendre désormais un agenda aux antipodes de ses engagements précédents, à la solde des lobbies de l'agro-alimentaire, des énergies fossiles et de la pétro-chimie.