Les revendications des gardiens de prison

Au neuvième jour du plus grand mouvement de blocage des prisons depuis vingt-cinq ans, les syndicats de surveillants continuaient mardi à mettre la pression sur la garde des Sceaux, avec laquelle ils doivent de nouveau négocier dans la journée. Les quelque 28.000 gardiens de prison jugent leur profession dangereuse, mal payée et mal considérée alors que les prisons souffrent d'une surpopulation chronique. Pour en parler, Jean-François Forget, secrétaire général du syndicat pénitentiaire Ufap-Unsa Justice.

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