Gérer globalement la crise migratoire
C’était à nouveau l’objectif très ambitieux du mini-sommet qui s’est tenu à Paris, fin août 2017, entre chefs d’Etats européens et africains.
Sans utiliser le mot Hotspot, il est clair que l’Europe souhaite identifier dès le Tchad ou le Niger, les migrants qui ont le droit à l’asile. En Libye, ce sera plus difficile étant donné les conditions déplorables de détention des migrants. En attendant, plusieurs pays européens comme l’Italie sont sous pression, et réclament plus de solidarité européenne. Dans ce contexte, où en est-on de la crise migratoire ? Pour en parler, on retrouve Daniel Vigneron du site Myeurop.info
Plus de place Tito
La Croatie veut vraiment en finir avec les symboles de son passé socialiste. A Zagreb, le maire qui a passé un accord électoral avec l’extrême droite, a tout simplement débaptisé la place Tito, du nom de l’ancien dirigeant communiste yougoslave. Une décision politique et controversée. A Zagreb, Simon Rico.
Torero, malgré tout
La tauromachie n’a plus forcément la cote en Espagne. Les associations de défense de la cause animale multiplient les campagnes et les manifestations contre une tradition qu’ils assimilent à la torture.
A Madrid, l’école de Tauromachie Jose Cubero, qui a formé par le passé les plus grands torero, est en crise. La municipalité proche de Podemos lui a retiré toutes ses subventions. Elle ne survit que grâce aux aides de la Région, dirigée par les conservateurs. Reportage de François Musseau à Alalpardo, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Madrid, où les jeunes élèves veulent encore croire en leur passion.
Royal Albert for all
Dans le quartier chic de Kensington de Londres, en bordure d’Hyde Park, la salle de concert Royal Albert Hall est en pleine mutation. Son nouveau directeur veut donner une nouvelle jeunesse à cette imposante maison ronde de briques rouges. Finie la rigueur victorienne, le Royal Albert Hall veut vivre au rythme du XXIème siècle. A Londres, Marie Billon.