Marine Le Pen a notamment réagi à l’attaque terroriste commise dans la soirée de jeudi 20 avril 2017 sur les Champs-Elysées, à Paris. « Le fondamentalisme islamiste lance une guerre et, aujourd’hui, les réponses qui sont apportées, notamment par la France, puisque c’est elle qui m’intéresse au premier chef, […] eh bien les mesures ne sont pas prises pour limiter au maximum le risque, dont nous savons qu’il est impossible de l’amener à zéro. »
La candidate frontiste affirme qu'elle aura face à elle « au second tour un mondialiste, qu’il soit décomplexé comme M. Macron ou honteux comme M. Fillon ». Elle se veut rassurante envers « les français d’origines étrangères » qui d'après elle « n’ont aucune peur à avoir, je serais la présidente de tous les français, de filiation et d’adoption ».