« Il faut accueillir les guérilleros, créer un climat d'accompagnement et de confiance, pour que ce dépôt des armes soit la garantie d'une survie physique et d'une nouvelle vie. »
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L’accord de paix conclu cette année avec la guérilla des FARC prévoit que celle-ci, qui qui compte encore quelque 5700 combattants, les rassemble dans les zones prédéfinies dans lesquels ils peuvent déposer leurs armes. Dans quelles conditions cet accord est-il réalisable ? Explications de Pascal Drouhaud, vice-président de l’Institut Choiseul, spécialiste de l'Amérique latine, qui répond aux questions d’Adrien Delgrange.
« Il faut accueillir les guérilleros, créer un climat d'accompagnement et de confiance, pour que ce dépôt des armes soit la garantie d'une survie physique et d'une nouvelle vie. »