« …Plus on a de juridictions pour lutter contre les crimes internationaux, mieux c’est (…). D’un point de vue juridique, il y a des possibilités multiples, dont il faut se saisir à tous les niveaux que ce soit au niveau national, au niveau de cours hybrides qui mélangent des éléments nationaux et internationaux parce qu’il y a aussi une très belle expérience qu’il faut mentionner en Afrique, qui est celle du procès d’Hissène Habré. La question c’est de comment faire ensemble pour construire un projet collectif de justice pénale internationale et sur le continent africain, tous les acteurs africains ont un rôle à jouer…»