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Hillary Clinton, diagnostiquée d'une pneumonie, a souffert hier d'un bref malaise alors qu'elle assistait à New York à la cérémonie en mémoire des victimes des attentats du 11 septembre 2001. Un épisode qui place sa santé au coeur des débats à moins de deux mois des élections et donne un nouvel argument au camp Républicain, après le faux pas de vendredi, lorsque Hillary Clinton avait fustigé les électeurs de Donald Trump, les qualifiant de « pitoyables ». Retour sur ce moment particulier dans la course à la Maison Blanche avec Vincent Michelot, professeur d'histoire politique des États-Unis à Sciences Po Lyon.