« J'aimerais que de plus en plus d'hommes politiques viennent du business. » « On peut regretter de n’avoir pas été jusqu’au bout des réformes sous ce quinquennat, on est un peu sur notre faim. » « Les politiques attendent la croissance, mais nous dans les entreprises, on va la chercher. En Chine, en Inde... » « Ce qui me rend optimiste, c'est que la révolution culturelle économique est en cours : les tabous politiciens tombent. On ose parler de la fin des 35 heures, de la suppression de l'ISF. A gauche, il y a une gauche réformiste qui a compris que l'entreprise est la clef de vôute de toute politique économique. »
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