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Longtemps accusé pour sa proximité suspecte avec le groupe Etat islamique (EI), le président turc Recep Tayyip Erdogan risque de payer cher sa nouvelle stratégie musclée contre le mouvement jihadiste qu'Ankara accusé du carnage à l'aéroport d'Istanbul ayant fait 42 morts. Ces attaques portent aussi un nouveau coup à l'un des moteurs de l'économie turque : le tourisme. Ahmet Insel, économiste, professeur à l'Université de Galatasaray, analyse la situation au micro de Caroline Paré.