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Seuls les Syriens, Afghans et Irakiens peuvent passer la frontière gréco-macédonienne. C'est le cas depuis trois semaines. Mercredi dernier, le gouvernement grec a vidé le camp d'Idomeni situé sur les rails qui traversent à ce niveau-là. Les autres nationalités ont été ramenées en bus à Athènes. 2300 personnes en tout. Des Iraniens, Marocains, Algériens, Bengladais ou encore Pakistanais. Coincés en Grèce, ils deviennent des clients potentiels pour les passeurs.