« J’ai dit à mes frères : "je vous fais confiance". Je reçois à Bamako les uns et les autres régulièrement. Je ne peux admettre ni comprendre, qu’au terme de cet accord pour la paix et la réconciliation au Mali, il y ait encore des difficultés à admettre que vos frères viennent à vous, ou alors quelque part, on n’est pas sincère. Il y a quelque chose qui ne marche pas. Pour autant, je ne veux rien brusquer. [...] On a un accord de paix qui est gradué, il y a des étapes et nous allons sur cela. Sans précipitation, nous serons patients... »